Quelles sont les zones érogènes chez l’homme?

La femme pense souvent que l’homme n’a qu’une seule zone érogène et se concentre uniquement sur son pénis. Cependant, l’homme dispose de près de vingt zones érogènes et sensibles sur son corps. Chacune est sensible de manière différente et doit être traitée de manière particulière. Cuisses, aisselles, mamelons…

Faisons le tour de ces zones qui rendent les hommes dingues de plaisir, et que la femme peut exploiter pour devenir indispensable au quotidien… Le plaisir et la jouissance sans pénétration est aussi possible chez l’homme que chez la femme. S’il y a moyen de rendre une femme incontrôlable par différents moyens, c’est également possible chez l’homme. Il faut simplement s’y intéresser et ne pas se contenter des acquis, comme c’est régulièrement le cas.

Si l’on reste proche du pénis, les testicules sont l’une des zones érogènes les plus sensibles chez l’homme. Leur traitement est particulier car la peau y est fine et remplie de capteurs sensibles aux températures et au plaisir, notamment le corpuscule de Krause. C’est grâce à lui que vous pourrez dominer sexuellement votre partenaire. Une expression populaire s’y rapporte d’ailleurs… Tenir son homme par les…

Il fait allusion au fait que l’homme peut nerveusement se paralyser en manipulant correctement les testicules. Pour les stimuler, la femme peut les masser très délicatement ou les pincer légèrement. Le froid ou un soupir les durcira, ce qui renforcera l’excitation pour l’homme. L’utilisation d’un lubrifiant peut vous faciliter la tâche et éviter une sensation de frottements à la longue, mais attention à ne pas en mettre une trop grosse dose afin que l’homme ressente tout de même les bienfaits des caresses.

Trop peu exploitées, les fesses de l’homme restent souvent un tabou. Notamment parce qu’elles sont assimilées à l’anus, que l’homme rechigne (de moins en moins) à exploiter durant le sexe. Il s’agit de la seconde des zones érogènes les plus sensibles chez l’homme. C

ar ici encore, elles contiennent de nombreuses terminaisons nerveuses, qui seront stimulées lorsqu’elles seront serrées, pincées, mordillées. Le pli se trouvant entre la fesse et la cuisse est la zone la plus sensible. Madame ne doit pas hésiter à l’exploiter avec un doigt ou la langue.

Le pubis est la zone poilue (sauf si rasée) située au-dessus du pénis. Encore une des zones érogènes très sensibles qui a une double action lorsqu’on le stimule correctement: il est proche du pénis et le stimule donc aussi de manière indirecte; ses nombreux nerfs le rendent sensible à toute caresse ou effleurement.

On évoque aussi l’aspect psychologique de l’homme sur cette zone, très proche du pénis. Une pression ou un massage sensuel de cette zone excitera particulièrement l’homme.

Une des zones érogènes que les femmes préfèrent stimuler est l’intérieur des cuisses. La peau y est fine, la zone est située proche du pénis, et les nerfs y sont très sensibles. Pour stimuler cette zone, la femme peut masser l’avant-jambe en partant du genoux pour remonter vers l’intérieur de la cuisse. Elle s’y attarde ensuite en massant l’aine avec ses pouces ou sa langue pour redescendre vers la cuisse et le genou.

Plusieurs mouvements de ce type mettront l’homme dans une situation d’impuissance de mouvement et l’exciteront profondément. Il s’agit certainement de la zone à stimuler avant de s’occuper de son pénis. Remonter ensuite vers le cou ou les mamelons serait une mauvaise idée car elle ferait redescendre le niveau d’excitation. Donnez donc un ordre aux zones érogènes à stimuler.

De manière très inattendue, les coudes, genoux et poignets sont des zones érogènes chez l’homme. De par leur sensibilité et le fait qu’elles sont rarement touchées, ces zones sont excitantes chez les hommes. Préférez la stimulation de la peau des plis dans ces zones: l’opposé du coude, derrière le genou, le poignet du côté de la paume de la main. Massez ou caressez ces zones avec vos mains plates et non avec un doigt ou un ongle, ce qui entraînerait des chatouillements, rarement excitants.

Le périnée est la plus grande des zones érogènes chez l’homme. Il se situe entre les testicules et l’anus et permet en réalité la stimulation de la prostate, l’équivalent du point G pour l’homme. Masser cette zone avec une pression plus ou moins forte peut même entraîner une éjaculation inattendue.

La prostate est en effet la zone la plus sensible dans un cadre sexuel. Si l’homme n’y est pas opposé, la stimulation de cette zone peut être accompagnée par l’insertion d’un doigt dans son anus. La prostate sera alors stimulée sous deux angles, ce qui lui offrira un grand plaisir.

Attention! Cette zone est hypersensible et très fragile. Il faut manipuler le frein avec une grande délicatesse. Il est recommandé d’utiliser un lubrifiant , ou encore une version comestible, permettant d’utiliser la bouche ou la langue pour stimuler cette zone.

Le frein est le nerf situé derrière le gland, au bout du pénis. Sa stimulation ne doit pas être trop longue, et doit faire partie de la stimulation générale du pénis. Le gland lui-même peut être stimulé de la même manière. Ces deux zones érogènes sont très agréables pour l’homme.

Une des zones érogènes les plus taboues chez les hommes. Et pourtant, stimuler l’anus d’un homme en y insérant un doigt est particulièrement excitant. Celles qui le peuvent inséreront un doigt plus profond pour atteindre la prostate, ce qui lui offrira une double stimulation: l’anus et ses parois vascularisées et nerveuses; la prostate qui est le point G de l’homme. N’improvisez pas la situation et parlez-en avant, auquel cas votre partenaire se bloquera pour le reste des préliminaires…

Cela peut paraître banal mais la vision de l’homme pendant son excitation est très importante. Lui stimuler les zones érogènes dans une grosse doudoune devant un dessin-animé ne mettra pas l’homme dans une situation d’excitation générale. Pour exciter l’homme, le psychologique joue un rôle important. Les postures que la femme prend, les positions générales, les regards jouent un rôle crucial. L’homme couché préférerait voir sa partenaire à genoux ou avoir une vue sur son fessier.

D’une manière générale, ordonnez vos actions et ne partez pas d’une partie du corps à une autre. De plus, si l’homme est chatouilleux sur l’une des zones érogènes à stimuler, utilisez vos mains à plat plutôt que le bout des doigts ou les ongles. D’autres zones érogènes peuvent être stimulées par la femme, mais tous les hommes n’y sont pas sensibles de la même manière. L’aspect culturel peut également jouer un rôle. Il s’agit du cou, des oreilles ou encore des aisselles et des mamelons.